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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 19 Avril 2012 à 19:21À ses lèvresUn jour il iraDans ses rêvesUne nuit il seraIl ne la quitteraCar près de sa peauSi douceOn y coule de beaux joursOn y cueille une belle âmeMuchacha, tu vauxPlus que l'or, l'argentOn ne dit pas ces chosesSes yeux sont d'un bleu immenseSa bouche est appétissante" J'ai jamais connu ça avant,Dans le regard de l'autre:L'amour. "La vie a un sensElle m'ouvre ses brasElle me serreDans mes rêvesJe sens sa présenceQuand elle me quitteraQuand elle me dira:" Courage!Ni 100 ans, ni 100 joursN'auront raison de nous. "Muchacha, attendrissanteElle s'en va ainsi, emportantCet amourCette merveille, me laissantBlessé et vaincuSolitaireécrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 11 Avril 2012 à 19:49Je regarde dans le rétroLes beaux jours se sont tous enfuisRien ne subsistePas même le plus fort, le plus triste courage d'une filleMon cœur accélère, s'arrête, repartDroit devant moi, l'impasseDe l'espoir, qu'est-il advenu ?Mon cœur traversé de part en part par la nuit, par la vérité garce:" Il est interdit de rêver iciSi tu as un rêve, il est fichuIls vont le tuerIls vont le mettre à mort juste sous tes yeux "Mes mains tremblent de rage, de tout ce qui est injusteMes mains sèchent les larmes sur mon visageJe n'ai plus rienJe regarde dans le rétroJe vois la souffrance qui me suitLa pauvreté infinieL'avenir n'existe pas, l'avenir est un mirageEt le soleil sombrant dans le rétro, un faux rubisécrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 3 Avril 2012 à 15:22À quinze ans, la vie te donnait faimÀ vingt ans, t'as plus envie de rienJe parle de toi jeune filleParce que tu es la grande oubliéeJe sais, tu te sens coupée du mondeSouvent sur tes joues des larmes abondentJe parle de toi jeune filleParce que personne ne semble s'en soucierTu pleures pour te refaire une âme neuveAssez forte pour contrer les épreuvesJe parle de toi jeune filleParce que t'es née pauvre et blesséeJe sais, tes efforts ont été vainT'as accusée les coups, l'air de rienJe parle de toi jeune filleParce que ton courage et ta fiertéLes saisons courent, ton chagrin aussiLes années passent, t'es toujours iciJe parle de toi jeune filleParce que tes rêves sont abîmésJe sais, toi et moi, on est pareilDeux sœurs loin de tout, loin du soleilMais dans nos âmes on brilleDe trésors dont personne n'a idéeécrit par Isabelle Le Roux
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