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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 2 Septembre 2013 à 16:29La pauvreté est assise sur le seuilLes bateaux se brisent sur les écueilsEt c'est tous les jours pareilJ'ai mal à la vie.Vois-tu, la douleur sort de son sommeilIci, l'injustice qui brûle au soleilEt le manque d'amour pareilAu temps qui s'enfuit.La nuit, mes odieux démons se réveillentVieux souvenirs d'une vie sauve la veilleEt je contre le jour pareilAux garces d'insomnies.Je voudrais bien t'aimer mais es tu seul ?Il est déjà trop tard, d'autres te veulentEt je pleure pour toi pareilAux larmes de la nuit.Le monde ne tourne plus aux dernières nouvellesEnsemble, la mort et la vie se trouvent bellesEt je les savoure pareilÀ un fruit amer.Sens-tu la douceur caresser le ciel ?Ici finit la terre, commence l'essentielEt je te retrouve pareilLe même caractère.La nuit, ses paradis artificielsEt moi, oh, un point inexistentielEt l'amour s'écoute pareilAux vagues de la mer.Je voudrais bien t'aimer, tu es le seulQui m'accorde un regard autre que veuleEt je sème mes doutes pareilAux hommes de la terre.Et c'est tous les jours pareilJe manque d'amourJe contre le jourJe pleure pour toi.Et tu n'as pas ton pareilTes mots savoureuxTes yeux amoureuxJe pleure sur toi.écrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 27 Juillet 2013 à 19:47Dans le cœur de personne je ne suis en vogueSur mes lèvres déçues, un sourireDans le fond peut-être que je m'en moqueOu peut-être que ça me tueTu me manques plus durement qu'une droguePour ne pas pleurer, je soupireJ'appelle l'amour mais l'on me rétorqueQu'il n'est pas pour moi, il n'est plus ici...Dans le cœur de personne je ne suis en vogueJe t'en prie, viens me secourirSerre moi la main et promets moi queMa solitude est bel et bien finieRegarde en face ma putain d'infortuneLa joie, j'en ai seulement ouï-direLe jour je m'ennuie, la nuit je ne dors plusJuste à cause de rêves absurdesDans mon cœur tu es et sans raison aucuneComme une idiote, je veux mourirDans quel monde vis tu ? Sur quelle mer vogues tu ?Par quel hasard je t'aime et tu ne le sais pas...écrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 23 Juin 2013 à 16:11Le corps étenduDans un lit de sableTu l'as reconnuLa beauté du diableElle provoque en toiUn désir durableElle éveille comme çaUne chose immuableToujours la même plageSentiment coupableTu n'aurais plus l'âgeMais tout est jouableElle provoque en toiUn désir palpableLe soleil te noieLa chaleur t'accableLe soir descenduFrisson détestableL'envie continueT'es là, misérableElle se moque de toiC'est impardonnableLe réveil sonne... Ah!T'es seul et minableEntre toi et moi c'estConfidentiel, secret, défenduNon personne ne saitMême le ciel ne nous a entenduécrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 2 Mai 2013 à 16:05L'homme que j'aime est comme l'airInsaisissableIl échappe à mes baisers, à mes tentatives désespéréesIntarissableInspiration pour cet amour pourtant sans avenir, mais tant vénéréInvraisemblableLa vérité me crève le cœur et tous vos mensonges sont avérésImperturbableJe reste une Muchacha, je ne serais jamais la fille que vous préférezVous ne m'avez pas laissé le moindre espoirComme un navire dans une tempête noireAinsi va lamentablement ma vieL'homme que j'aime est un ***InqualifiableJ'aimerai le sauver de lui-même et de sa descente effrénéeInexcusableMon retard et mon regard hautain, j'en ai marre d'être bien élevéeInvariableIndifférence de chaque jour, sa chanson mille et mille fois répétéeUn jeu du diableJe vous ai aimé à la folie, je vous ai follement détestéVous ne m'avez pas laissé le moindre espoirComme un navire dans une tempête noireAinsi va lamentablement ma vieécrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 6 Avril 2013 à 20:43Dans les petites villes du centre de CubaLes rues habituellement bruyantes et doucesDeviennent vides pendant les mois d'hiverJ'ai vécu cette pesante quiétude ...Dans les petites villes du centre de CubaTout est absence et attente dans les mois d'hiverJ'ai vécu cette pesante quiétudeLes nuits de février, à l’angle des rues vides de Libertad et Paseo,Je regardais passer les autos en route vers l’OuestComme celui qui voit une Muchacha à la peau claire et aux cheveux noirAller heureuse vers un autre homme.Alberto Edel Morales
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