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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 26 Février 2012 à 19:23Caresse et flatterieJe ne connais pasChaleur et abriNe sont jamais làBlessure et maladieQui ne guérissent pasJe cherche une main amieJe ne la trouve pasUne maison, une familleHélas le pauvre chatCe soirNe mangera pasFigure triste, salieEt frisson de froidToute seule, je m'assiedsJ'attends quelqu'un : toiOn ne m'a jamais dit"Je t'aime", oh pourquoi ?Je marche en équilibreEn haut sur les toitsÀ quoi ça sert d'être libreSi moi le pauvre chatTout noirOn ne m'aime pasJe ressemble à ce chat maigreQui demande à ce qu'on l'aimeS'il pouvait parlerécrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 14 Février 2012 à 09:55
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 8 Février 2012 à 19:30Chaque fois, je fais ce rêve étrangeJe rêve que la Muchacha rallume la flammeAu cœur de l'homme, seul au milieu de la nuit, du néantChaque fois, je me réveille sans elleLa loi, avec elle je vais tricherMais la Muchacha sait bien le dessous des cartesBlessée dans son cœur, lassée, démunie, dénigréeLa loi est à réécrireJ'ai tout ditTout à cœur ouvertMalade et fou de vous aimerJ'ai tout souffertEt vous n'avez rien ditVous êtes partie sans vous retournerJe vois ma vie et je ne l'aime plusÀ quoi me rattacher si la MuchachaEst loin de mon cœur, quelque part, dans une ville, dans quelques ruesJe vois bien que je l'ai perduLe droit que j'ai, le seul, le dernierMa chère Muchacha, ravaler en douce mes larmesMe noyer au cœur d'un immense ciel de pluie, de misèreLe droit de croire que vous reviendrez...écrit par Isabelle Le Roux
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Par pimousse2 dans La Muchacha de Cuba mérite d'être connue du monde entier... le 3 Février 2012 à 16:11Les heures meurent merveilleusement une à uneTu le vois bien, je ne suis pas adulteJe te griffe la peau comme le papier, la plumeAvec moi rien n'est facile, toujours la lutteJe vis véritablement mes dernières heuresJe ne sais rien de ce qui me touche, me heurteJe pénètre ton cœur comme le passé, les erreursAvec moi rien n'est si sûr, toujours peut-êtreProtège moi car j'ai peurJ'ai peur de la nuit, de l'orageJ'ai peur encore à mon âgeSerre moi fort contre ton cœurSerre moi fort, très fortSerre moi plus fort que la mortC'est mon dernier souhaitécrit par Isabelle Le Roux
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